POKES - L'ENFER (Lyric) - intru By @VANNNProd

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Première musique studio de l'artiste POKES.

Merci à ‪@VANNNProd‬ pour l'instru.

#prodvannn #vannnbeats #vannn

Musique à but non lucratif

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Lyric Français :
... Alors comme ça, j’ bébé-bé-bé-bé-gueille, hein ? ... Ils disent tous que je suis un menteur, mais je rêve juste du million, des fois une heure, rouler un joint d'Iblood pour fly like bird.
J'veux pas être ton idole, mais j’sais qu'j’suis ambitieux. J’ai des gens sérieux au milieu, mais j’suis pas destiné à crever vieux. Parce que j’touche cette blanche comme un vicieux, j’t’ai toujours bien visèr.
Mais j’suis une vipère, j’ai vendu mon âme pas chère. Le diable a payé l’enchère, j’ai payé la dette de mon frère. Mentir à ma mère, goûter le bénéfice qui t’monte en poussière.
Mais j’ai pas besoin de vocodeur parce que j’fais ça à l’ancienne. Demande aux anciens, j’partage pas mes os, j’suis en chien.
Performance oblige, j’suis pas un gars qu’on oblige. Seul dans le noir, tu pries pour qu'je t’oublie, mais je fais passer les profits. Mon profit au profit des profiteurs.
Parce que certains pleurent, d’autres perdent leur humeur. Moi, j’fais de l’humour, ils veulent me voir monter en l’air. Pas besoin de leur planeur parce que mon texte, mes rimes te font peur.
Mais j’vais juste ralentir le tempo, j’vais te la mettre en douceur.
T’as rien sous le capot, on se reverra bientôt à huis clos. Mais c’est vrai qu’t’es fausse parce que la concurrence, elle s’affole. Moi, phase et ça colle, un spiff et je décolle.
Trouver l’inspi, j’déconne. Si ça déconne, balayette, t’es au sol. C’est vrai qu’en vrai, j’étonne, j’vais récupérer c’que la vie me donne.
Présent depuis le départ, rapide comme un guépard. Putain, t’es en retard. Je vous lance des pics, vous retardent.
Mais t’es visé, ça te regarde. Vaut mieux éviter le mitard. Patine les roues comme un motard, serre le milieu comme un motard. Fais du sale dans un motel.
Pour moi, elle s’est faite toute belle, comme cette bitch de MLR.
Que dire de cette merde ? Sous l’ativan, j’suis cultivé comme la Durban. Cette sativa qui monte le long comme un serpent. J’crache mon venin comme un serpé taïpan.
Bientôt le couperet tombera, mais pas de "Là, là, là". Pas de JUL qui casse les oreilles. Là, j’me sers de ma voix pour exprimer c’que j’ai vécu.
J’ai pas besoin d’autotune pour faire des thunes.
J’ai ta mère la pute, vends la coco comme De Niro. Sors ce son de ma AUDI’O, tu crois qu’j’suis idiot ?
Seuls les vrais savent que ma rage est contenue dans cette seule fiole.

J’nique toute ta mif et même ta fiiieulle
Suis-je le seul à penser qu’t’es pas à ma hauteur ? Non. J’entends tes cris et tes pleurs.
J’suis ton démon de chaque heure, le fléau de chaque ère. Je t’amène au cimetière. J’suis l’aman à ta mère.
J’suis tes peurs de toujours, parce que j’suis le seigneur de tes guerres.
Tu veux me voir monter en l’air, mais j’ai pas besoin d’ton planeur. Mon texte, plein de rimes, te fait peur.
J’vais juste ralentir le tempo, parce que j’vais te la mettre en douceur.