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He studied singing with the pedagogue Luis Iribarne and then went to continue his education in Italy. There he studied at the conservatory of Parma under M. Silva. He made his debut in 1920 at the Teatro Grande in Madrid as Samson in ‘’Samson et Dalila’’ of Saint-Saens. Probably his first appearance in Italy was at the Teatro San Carlo in Naples where he sang the role of Siegmund in Wagner’s ‘’Walkiria’’. He soon became the leading Wagner's tenor in Italy and counted as a successor of the great italian tenor Giuseppe Borgatti. After the Second World War he emigrated again to Buenos Aires. Here he been active as a music author and as a correspondent of the Argentine newspaper ‘’La Prensa’’.
Source : http://forgottenoperasingers.blogspot.fr/2012/09/isidoro-fagoaga-tenor-vera-navarra.html

ISIDORO FAGOAGA
Né à Vera de Bidassoa le 4 avril 1893, mort à San Sébastian le 15 mars 1975. Dès l’enfance, ses qualités vocales lui permirent de chanter dans un chœur paroissial. Mais il préférait écrire des poésies et des récits pour le bulletin du collège où il poursuivait ses études. Des amis lui firent rencontrer Titta Ruffo et Fiorentino Constantino qui lui conseillèrent d’aller à Milan et lui confièrent des lettres pour les meilleurs professeurs.. Il suivit leurs conseils, gagna le concours Campanini et obtint une bourse pour le Conservatoire de Parme
Sa voix puissante ne se prêtait pas aux délicatesses du bel canto. Aussi prépara-t-il un répertoire de ténor héroïque. Il revint en Espagne, chanta Samson dans Samson et Dalila à Madrid. Il tourna ensuite dans les principales villes d’Espagne et du Portugal. Interprétant des extraits des opéras wagnériens.
De retour en Italie, la qualité des représentations données à Naples lui valut un engagement à la Scala de Milan où il chanta les principales œuvres de Wagner sous la direction de chefs tels que Siegfried Wagner, Arturo Toscanini, Panizza, Elmendorff et autres. Il fut pendant 11 ans le principal ténor wagnérien de la Scala, succédant à Giuseppe Borgatti . Il triompha en Italie, en Amérique du Sud, mais ne parut plus en Espagne.
A la veille de la seconde guerre mondiale, il abandonna inopinément la scène pour se consacrer à la littérature. Il écrivit des œuvres telles que Pedro Garat el Orfeo de Francia”, “Unamuno a orillas del Bidasoa” d’autres essais, “Retablo vasco”, “Los poetas y el País Vasco” y “El teatro por dentro”, entre autres.
Il ne chanta plus jamais