Mon ex du secondaire ma écrit a matin, pi s’qua m’a dit ma fait réaliser que le destin, y’a jamais été payé pour être fin, dans l’fond a m’a dit qu’un de mes prof avait trouver la fin, tout s’que moi ça m’a donné c la faim, de trouver si y’a un moyen d’échapper ce moment certain, pas vraiment parce que je le crains, c plus que chu tanné que tout l’monde tombe avec cette entrain, entrain morbide qui me fait pencher vers le suicide, donc j’écris ces vers pour sortir ces vers que j’ai dans la panse, pi pendant que j’y pense, mon coach aussi de cette année la a changé de danse, il danse maintenant avec la mort mais moi j’me pose le questionnement suivant? C’est qui le prochain que je vais voir tomber en vain, où j’me tiendrai vainement au loin ne pouvant rien faire d’autre qu’écrire un refrain que personne ne se donnera la peine d’écouter parce que je ne suis qu’un nain, devant l’immensité des problèmes que j’essaye de décortiqué, mais que le décor ne fait que faire ressortir la mort, cette odeur putride qui me fait pencher vers des idées moins en moins lucide, alors j’écris les vers qui rampe hors de mes orbites, je dis de mes orbites car c’est juste la réflexions du monde que je vois à travers les vitres, de mes lunettes teinté par tous les passages des gens qui n’avait l’air que de façade, mais quand réalité, était l’une des raisons que ce monde étais moins maussade.