Ghost of Tsushima - La Review par un Moi Même
0Ghost of Tsushima est un jeux dont je fais une critique juste parce que je l'ai fini, pis je sais pas quoi faire d'autre avec les video qui traine sur ma PS4. Je fais ma video en québecois dans le but de faire chier le plus de monde possible. Parce que, si la vie te de donne un ostie d'accent de redneck franco-anglais fucké, avec des sacres de mots bibliques choisis au hazzare, aussi ben faire chier le monde avec.
Le joueur incarne Colonel Sanders Buckethead, le dernier Samurai. Guidé par sa mêre, les oiseaux, et son pêre, le vent, dans sa quête pour trouver une vingtaine de criquet de cimetiere pour aprendre a jouer de la flûte météorologique. Niveau qualité, le jeux ce tient quelque part entre Horizon Zero Dawn et Red Dead Redemption 2.
En gros, Ghost of Tsushima fait au Samurai ce que Red Dead fait aux western. C'est une adaptation propre et qui arrive souvent a surpasser les oeuvres qui l'ont inspiré. Ghost est beaucoup moins ambitieux et lourd que Red Dead, par exemple. C'est une histoire très héroique qui frôle les sujets lourd mais, généralement, s'en tient a une structure plus cliché et prédictible. Le jeux a beaucoup d'humanité, mais... À aucun point Jin Sakai attrape la neurosiphyllis ou s'arrête a un temple pour jouer aux Mah-Jong avec son amie Yuna.
Ce n'est pas pour dire que l'histoire n'est pas excellente, elle l'est. Surtout comparer à ce qu'on trouve dans un jeux d'Ubisoft. Jin Sakai est ses amis sont des personages intéressant, et son histoire est inspirante. Tout les personnages on des missions secondaires qui ont plus que maintenu mon attention. C'est juste que... À l'exception du fait que, en tant que Samurai, Jin et sa culture percois l'infiltration comme une approche déshonorable, légitimisant ainsi les assaut direct (contrairement a la pluspart des jeux, ou l'infiltration est souvent traité comme l'approche correct et le combat direct comme un échec de la part du joueur). Aucun moment ou aspect de l'histoire ma marquer par sa brilliance ou son dialogue. Je trouve que l'histoire manque de touches humaine, personne ne prends le temps de rire ou d'être amicale. C'est soit três stoique ou três dramatique.
Le point fort du jeux est clairement son combat, que ce soit en infiltration ou en attaque directe. La difficulté est bien balancé, les énemies sont varié, apprendre le timing des esquives et des contre-attaques est satisfaisant. Il n'y a pas de stratégie cheap. Les coup d'épé sont viscéraux et il y a un bon sentiment de connection entre le katana et la chair mongolienne. J'ai hâte de voir les prochains Assassin's Creed voler son gameplay.
Le point marde du jeux c'est les phases de plateforme. Ça fonctionne bien pour naviguer les arènes de combat. Mais, toutes séquence dédié à l'escalade fonctionne a moitier; Jin se pitch dans le vide, saute dans le mauvais sens ou refuse de s'aggripé au bordures et, même quand tout fonctionne, il saute automatiquement d'une poinge a l'autre sans considération pour les 800 livres d'armures qu'il a sur le dos ou pour mon plaisir d'avoir l'impression de participer a l'action... Três fade.
Pour ce qui est du système de progression. Tout est bien construit, mais très générique. À l'exception du système de charmes, que j'ai beaucoup aimer utiliser et abuser. Au début, ils ne font pas grands choses, mais les habiletées qu'ils débloquent deviennent de plus en plus utiles et font une bonne job à créer des situations uniques et encourager différentes approches de gameplay.
Ghost of Tsushima est l'un des meilleurs exclusifs sur la PS4. De loins le meilleur open world de Sony, jusqu'à maintenant. Le jeux a du style, du talent et une qualité de production a jeter par terre. C'est juste rien de révolutionaire.
Le gazon est nice, l'utilisation abusive d'effet de particules est nice, les tissus qui collent au corps de Jin lors des postures héroique qu'il prend au grée du vent sont nice. Le cul de Jin est nice. Le jeux est nice. Je lui donne un Jeu Nice sur dix. Joue Francois Pérusse: https://youtu.be/i7-1SeTDvgQ